Suspension ABDL auto bondage

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il y a 8 ans

Cela faisait longtemps que je fantasmais à l’idée d’un self bondage associant couches et suspension. J’ai trouvé le moyen de ressembler à une marionnette entravée ! RIRE

Le plan :

1°) Ice-timer :

Suspendu à la poutre du garage avec les clés accrochées par 2 ficelles par sécurité. Un long bout de ficelle dépassait du glaçon emprisonnant les clés pour que je puisse l’attacher à la poutre. Les clés des menottes resteraient suspendues devant moi, je n’aurai qu’à saisir la ficelle pour les attr a p e r.

2°) Suspension par l’entrejambe

Deux chaines accrochées en U. Pour que les chaines ne soient pas blessantes, j’ai ajouté de l’isolant à tuyau là où j’allais m’asseoir. Asseoir entre guillemet car s’asseoir sur deux chaines tendues n’est pas réellement une position assise.

3°) Sécurité anti chute

Pour être sûr de ne pas tomber quand je serai suspendu debout par l’entrejambe, j’ai ajouté une ceinture que j’ai fixée aux chaînes afin qu’elle ne glisse pas. Cette ceinture m’enserrerait au niveau de la poitrine dans les chaînes donc chute en avant ou en arrière impossible.

Le point 2 et 3 donne un peu l’impression d’un harnais pour personne qui travaille en hauteur sauf que le mec qui lave par exemple les vitres des immeubles n’a pas une ceinture qui bloque ses chevilles.

4°) fixation des menottes.

J’ai fixé les menottes à une des chaines avec un cadenas. Placée en hauteur, je ne pourrai qu’attendre la fonte de la glace pour retirer mes pinces à seins.

RÉSUMÉ DE MON SCÉNARIO

Tout était prêt, je m’étais mis un joli plug maintenu par une ficelle me faisant comme un string, puis deux couches pour les fuites bien sur mais aussi pour diminuer la douleur entre les jambes car être suspendu par là une paire d’heure pouvait rapidement devenir douloureux.

J’étais tranquille en termes de sécurité car j’avais mis sur la table de la cuisine un papier indiquant que j’avais besoin d’aide pour que ma femme me découvrire si mon plan foirait.

A la dernière minute, j’ai sorti le ice-timer que j’ai attaché à la poutre à côté des chaînes puis j’ai retiré l’échelle. J’étais excité comme une puce, alors quand j’ai choisi les pinces à sein, je n’ai pas pris les plus gentilles en prenant celles lestées par des poids. Hummm mais un peu aie aie aussi, mais je n’y ai pas pris garde. Je me suis mis un bâillon bien serré j’ai pris la ceinture pour les chevilles et je suis monté sur le tabouret pour enjamber les chaînes sur lesquelles je me suis assis avec beaucoup de précaution pour bien les placer sur la couche avec mes précieuses au centre.

Quand j’ai voulu bloquer mes chevilles, j’ai bien failli tomber la tête en avant. OUF loupé, enfin sauvé. J’ai donc bloqué mon buste dans les chaînes avec la ceinture pour ma sécurité puis, en relevant les jambes je suis parvenu tant bien que mal à bloquer mes chevilles. Après un dernier ajustement des chaînes entre mes jambes puis un dernier coup d’œil de contrôle des risques et danger possibles, j’ai poussé le tabouret avant de bloquer mes mains dans les menottes fixées en hauteur. Comme toujours, j’ai testé la fiabilité de mon dispositif.

Il s’est avéré fiable et efficace mais finalement pas très confortable. Fermer les yeux pour me replonger dans mes fantasmes et délires s’est avéré une priorité. La première goûte d’eau tombant du ice-timer m’a fait peur. Oui, je sais c’est idiot mais j’avais complètement zappé que l’eau glacée allait me tomber dessus. En fait, j’étais tellement concentré sur la sécurité et le confort de mon entrejambe que j’ai fait une erreur de débutant.

Pour éviter les gouttes d’eau glacée, j’ai essayé de me pencher en avant le plus possible, sauf que les pinces lestées accrochées à mes tétons se sont mises à balancer et que les protections isolantes fixées aux chaînes passant entre mes jambes écrasaient un peu mes testicules. J’ai donc basculé mon corps vers l’arrière mais la goûte suivante est gentiment tombée sur ma poitrine avant de couler sur mon ventre. Brrr, c’était froid. Le regard fixé sur le ice-timer me semblant après coup trop gros, j’ai essayé de ruser pour éviter les goûtes glacées. Le problème était qu’en me balançant pour les éviter, les pinces lestées accrochées à mes tétons profitaient également de mes mouvements. De fait, mes neurones ne se concentraient plus sur le plaisir généré par l’auto bondage mais sur les douleurs et les goûtes froides. Je me suis détesté !

La position que j’ai finie par adopter était penchée en arrière mais tête penchée en avant. Les goûtes tombant sur le devant de mon crâne me semblaient moins froides. Mon esprit commençait à oublier les goûtes et mes neurones coquines s’enflammèrent. Un couple dominateur m’avait entravé dans mon garage pour me punir de ne pas avoir pu résister à l’envie d’uriner après des heures de SM. Puis, histoire de s’amuser, avait invité quelques amis, j’étais l’attraction. Pour s’amuser ils accrochaient des trucs à mes tétons ou me faisait boire histoire de tester l’efficacité de la couche… En clair des délires fantasmagoriques d’un mec en self bondage qui divague en attendant sa libération.

Au bout d’un moment, cette position est devenue inconfortable et quand j’ai voulu soulager mon dos, les chaînes se sont insérées entre mes fesses comme un string malgré la couche et se sont resserrées sur mon sexe. De fait, le plug m’empalait profondément et mon service trois pièces commença à réagir sous la pression. Le Popaul se mit au garde-à-vous mon délire s’orienta sur une pseudo sodomie. Sauf que mes tétons ne voulant plus jouer se rebellèrent un peu. La compil des sensations anales et la pressions sur mon sexe me permirent de transcender un peu la douleur mais les goûtes castraient un peu les fantasmes. L’envie d’uriner est venue, je me suis laissé aller dans la couche prévue à cet effet sauf que compressée et malmenée la dite protection ne fut pas très efficace. L’urine se mit à couler sur ma jambe ce qui me permit de constater qu’en bougeant, j’ai fait craquer les bandes adhésives. Hormis bouger légèrement le bassin pour m’auto empaler plus rien ne pouvait me permettre de m’évader psychologiquement. C’est en m’auto empalant que j’ai attendu que le ice-timer libère les clés. J’étais épuisé, en sueur et j’aurai bien aimé faire une pause, mais la seule façon d’essayer d’oublier les pinces à seins lestées était de poursuivre. Je devais ressembler à une chatte en chaleur qui se frotte….

Lorsque les clés sont tombées devant mon visage, j’ai pu en un rien de temps libérer mes mains puis mes tétons. OUAOUFFFF ! Pour atténuer la douleur générée par l’afflux s a n g uin trop rapide j’ai plongé ma main dans la couche pour me branler. Non pas que je voulais jouir mais pour m’aider à transcender la douleur. La chose étant commencée,….. mes neurones réellement très embrumés m’ont presque f o r c é à aller jusqu’au bout. Lorsque la jouissance est arrivée, tout mon corps s’est mis à convulser. J’ai cru absorber le plug tant mon anus pris de spasmes s’ouvrait et se fermait. C’était titanesque et si je n’avais pas mis la ceinture autour de mon buste, je serais tombé.

Suspendu dans mon garage je n’irai pas jusqu’à dire que j’étais inanimé mais presque. Vidé de toute énergie, je suis resté un moment ainsi peut-être ai-je un peu dormi mais j’étais comme d r o g u é. Les mouvements pour me libérer totalement furent délicats, la couche explosée ne protégeait plus rien mais je suis parvenu sans trop souffrir à remettre les pieds sur terre.

Ecrivaillon

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